Test du palper rotulien
Dans ce test nous allons rechercher à reproduire une souffrance cartilagineuse de la patella. Ce test participe au diagnostic différentiel et d’exclusion du genou
Dans ce test nous allons rechercher à reproduire une souffrance cartilagineuse de la patella. Ce test participe au diagnostic différentiel et d’exclusion du genou
Les exercices sont structurés par étape en commençant par un renforcement du tronc. L’article présente différentes propositions d’exercices en fonction des atteintes et des déficits observés.
ITMP est très heureux de pouvoir accompagner Méryl Manoukian, intervenante au sein de l’équipe ITMP qui proposera prochainement un cursus spécifique sur ce thème.
Le test est positif si la douleur ressentie par le sujet est supérieure à la douleur ressentie controlatéralement.
Attention aux faux positifs.
Douleurs pelviennes chez la femme gravide Douleurs pelviennes et lombalgies sont fréquentes chez les femmes enceintes avec une prévalence de 4 à 84 %. Cette grande variabilité peut surprendre. Or, elle s’explique par la difficulté à établir un diagnostic pertinent, tant il peut être malaisé de cerner ces symptomatologies souvent polymorphes et de fournir une…
La thérapie manuelle orthopédique et le titre de PhD (USA) en Physiothérapie c’est possible !
Soirée conférence : les solutions pour la lombalgie.
La rééducation instrumentée est un complément de la thérapie manuelle.
Les dernières recommandations et les dernières technologies au service des patients
A quoi sert la manœuvre :
Mise en évidence de rugosités articulaires fémoro-patellaires.
Mise en place du test :
Le sujet est en décubitus dorsal. Le thérapeute place ses mains de part et d’autre de la rotule. Il imprime une pression verticale sur la rotule puis la mobilise vers le haut et le bas sans relâcher la compression.
Retrouvez comment la mesure de l’angle Q participe au diagnostic des syndromes fémoro-patellaires
Dans cet article, les auteurs font un point sur le système fascial. Bien que de nombreuses études soient en cours et que les données scientifiques recueillies s’accroissent, de nombreuses zones d’incertitudes persistent, notamment en raison de la difficulté tant d’évaluer ce système avec fiabilité que de le distinguer des autres systèmes auxquels il est inévitablement lié. Cependant, des avancées dans ce domaine ouvrent le champ des possibles. Il peut être mentionné les travaux du Dr Stecco et du Dr Langevin dans la continuité des travaux du Dr Guimbertau.