Pour une approche quotidienne biopsychosociale de la douleur du patient.
Notre formation initiale est bien souvent basée sur une approche biomédicale de la douleur du patient qui le relègue à la « posture d’agent » [1] peu encline à l’observance thérapeutique indispensable, notamment dans un contexte de pathologie chronique aux répercussions multiples.
Il est possible de faire évoluer ce paradigme grâce au modèle biopsychosocial permettant au patient d’adopter une stratégie réflexive favorable à son implication et dont les caractéristiques principales sont développées ici.
- Apports récents des neurosciences sur la compréhension des phénomènes douloureux
- Pour un changement de paradigme : passer du modèle biomédical au modèle biopsychosocial
- 2.1. Les limites de l’approche biomédicale
- 2.2. Le modèle biopsychosocial au service de l’observance
- 2.3 Perspectives pour le masseur-kinésithérapeute
Positionnement
Adapter une stratégie envers le patient permettant une meilleure implication dans la gestion de la douleur.
Notre formation initiale est bien souvent basée sur une approche biomédicale de la douleur du patient qui le relègue à la « posture d’agent » [1] peu encline à l’observance thérapeutique indispensable, notamment dans un contexte de pathologie chronique aux répercussions multiples.
Pour la pratique
Il est possible de faire évoluer ce paradigme grâce au modèle biopsychosocial permettant au patient d’adopter une stratégie réflexive favorable à son implication et dont les caractéristiques principales sont développées ici dans la suite de l’article en téléchargement.
Pour aller plus loin …
Formation Douleur et neurosciences
Equipe Jo Nijs
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